jeudi 23 décembre 2021
Retour sur la conférence du 14 décembre 2021
samedi 11 décembre 2021
Conférence de décembre 2021
Mardi 14 décembre, le Cercle d'Études Locales du Toulois recevra Pierre Pegeot, professeur à l'université de Lorraine. Pierre Pegeot consacrera sa conférence aux Chanoines de la cathédrale de Toul au Moyen Age.
20h30 salle des Adjudications (cour de l'hôtel de ville, Toul)
Pierre Pegeot est l'auteur, avec Mathias Bouyer, du tome XVII du Répertoire prosopographique des évêques, dignitaires et chanoines de France de 1200 à 1500, consacré au diocèse de Toul. (Fasti Ecclesiae Gallicanae, paru chez Brepols en 2017)
N'oubliez pas votre masque et votre pass sanitaire
mercredi 1 décembre 2021
dimanche 28 novembre 2021
Remise du prix Moselly 2021 à Marie-Christine Quentin (27 novembre 2021)
Accueil municipal dans la salle des mariages de l'Hôtel de Ville. Le maire, Alde Harmand, retenu par d'autres obligations, s'était fait excuser et remplacer par son adjoint à la culture, Matthieu Vergeot.
Intervention de Philippe Masson, président du CELT.
Intervention de Corinne Florentin, secrétaire du prix Moselly.
Après avoir été invitée à se présenter, Marie-Christine Quentin procède à la lecture de son émouvante nouvelle 'La déchirure".
La lauréate offre ses quatre recueils de nouvelles à la médiathèque, représentée par Nicolas Henriot, membre du jury.
Le n° 178 des Études Touloises est paru- N°174 en ligne
- La « fée électricité » s’installe à Toul, par Michel Poirson
- Les vétérans meurthe-et-mosellans de 1870-1871 : des patriotes au service de la IIIe République, par Brieuc Guinard
- Lettre à Émile Moselly, par Anne-Marie Liedot
- Prix Moselly 2021 : La déchirure - Marie-Christine Quentin
- Le chanoine Étienne Drioton, un éminent égyptologue du XXe siècle, par Michèle Juret
- Les confréries, à Toul, au XVIIIe siècle, par Jean-Paul Aubé
- Au musée : programme de décembre 2021 à mars 2022
- Chronique des 800 ans de la cathédrale de Toul
- La confrérie de la Capucine
- Partenariats : La Gazette lorraine
Pour consulter les articles du n°174, cliquer ICI.
lundi 15 novembre 2021
vendredi 12 novembre 2021
Marie-Christine Quentin (échange avec un journaliste)
Vous êtes originaire de Normandie, vous aimez la mer, vous faites de la photographie…
Et puis et surtout, vous êtes auteure de quatre recueils de nouvelles : « Des bleus au ciel » ; « À fleur de sel » ; « La petite voix et autres résonances » ; « Inflexions », tous publiés chez L’Harmattan dans la collection « Nouvelles nouvelles », dont vous êtes d’ailleurs à l’origine de la création chez votre éditeur.
C’est dire si ce genre, parfois un peu boudé en France, vous tient à cœur !
1°) Certains de vos textes ont été couronnés de prix littéraires, dont entre autres, le très prestigieux prix de la nouvelle George Sand. Cela a-t-il marqué un tournant dans votre carrière littéraire ?
Oui, je dirais même que c’est celui qui m’a lancée. Attribué chaque année à une lauréate parmi les très nombreuses auteures qui y participent (250 cette année-là, plus de 400 en 2021), il m’a permis de prendre confiance en moi. Je ne remercierai jamais assez les membres du jury de ce concours qui m’ont vivement encouragée à continuer, moi qui doutais alors beaucoup de moi (ce qui n’a guère changé !) Cette belle reconnaissance fut pour moi un vrai stimulant, et m’a incitée à contacter des maisons d’édition, dont L’Harmattan. Depuis, ce n’est que du bonheur !
J’encourage vivement les auteures de nouvelles à participer à ce concours organisé par des bénévoles passionnés par ce genre littéraire qui, j’en suis persuadée, retrouve depuis quelques années toutes ses lettres de noblesse auprès des lecteurs. Se donner à lire, c’est prendre la mesure de son écriture pour s’améliorer.
2°) Depuis quand écrivez-vous ? Et pourquoi des nouvelles uniquement ? Quelle est la particularité de la nouvelle, pour que vous lui accordiez tant d’importance ?
Enfant, j’étais une grande lectrice, et j’ai très vite eu le goût des mots. Je prenais plaisir à inventer et écrire de petites histoires que je compilais dans des cahiers. Je jouais avec les mots, les phrases, les triturant dans tous les sens comme d’autres jouaient avec les LEGO. Et c’est ce qui me plaît toujours dans la nouvelle. Contrairement au roman dans lequel l’auteur peut délayer son écriture, la nouvelle oblige à la précision : chaque mot, chaque ponctuation doit être pesée pour lui donner ce caractère à la fois bref et intense qui fait la qualité d’une nouvelle réussie. Rien ne m’agace plus que de m’entendre dire que j’écris des nouvelles parce que je ne tiendrais pas la longueur sur un roman ! C’est une approche du genre totalement erronée ! Compare-t-on un coureur de marathon avec un coureur de 100 mètres ? Ce sont deux disciplines différentes. La nouvelle est exigeante. Elle demande un travail d’orfèvre. Du ciselage. Je la compare souvent à la dentelle au point d’Alençon, ville où je suis née et où je vis encore aujourd’hui. Toutes deux nécessitent de la finesse, de la minutie et du raffinement.
3°) Qu’il s’agisse de livres, des paysages de votre région d’origine ou de pays plus lointains : quelles sont vos sources d’inspiration ?
Vaste question ! Mes voyages, mes rencontres, bien sûr… mais aussi parfois une simple image, une scène de la vie courante, aperçue brièvement lors d’un trajet en voiture ou en train. L’actualité aussi, que j’essaie de placer au cœur de mes nouvelles pour tenter de faire passer des messages. Les grands espaces me fascinent et ont depuis toujours accompagnés mon écriture : la mer, le désert, le ciel et les étoiles, une trilogie qui m’est chère. Des horizons infinis où l’homme peut tout à la fois se sentir si petit, et si riche de son humanité …
Quant aux livres, certains demeurent pour moi des références incontournables. Le Petit-Prince d’Antoine de Saint-Exupéry est omniprésent dans mes recueils.
4°) Que pouvez-vous nous dire de votre dernier recueil, « Inflexions » ? Où emmenez-vous le lecteur ?
Dans la vie, les choses peuvent basculer brusquement : un accident, un rien, un grain de sable qui vient tout perturber… C’est souvent le cas dans les nouvelles dites « à chute ». Mais la plupart du temps, le cours de la vie s’infléchit peu à peu, tout en douceur. C’est à ce moment où la vie s’incurve, prend lentement un autre chemin, que je me suis intéressée dans ce recueil. À travers les nouvelles qui le composent, le lecteur voyagera dans le désert, en mer, à Paris, à Pékin, dans les îles du Pacifique ou du golfe du Morbihan, mais aussi dans l’espace (il ira jusque sur la Lune) et dans le Temps… Et tout cela sous le regard bienveillant des étoiles… C’est un recueil que j’ai souhaité poétique…
5°) Et actuellement, êtes-vous en train de préparer un cinquième recueil ? Peut-on dire que, du point de vue de l’écriture, que vous avez toujours un peu « quelque chose sur le feu » ?
Oui, j’ai toujours quelques nouvelles sur le feu ! Cela ne veut pas dire qu’un nouveau recueil sortira bientôt… Chez moi, une nouvelle peut parfois mijoter très longtemps. La gestation du « Vieux Chinois », publiée dans Inflexions, a duré 10 ans avant que je me décide à y mettre le point final ! Je revenais sans cesse sur ses phrases, insatisfaite ! Mais je vous rassure, c’est quand même une exception ! J’ai toujours avec moi un petit carnet où je déverse pêle-mêle pensées, impressions, toutes ces graines d’idées que je laisse doucement germer avant de les reprendre un peu plus tard…
Contrairement à d’autres auteur(e)s, les périodes de confinement que nous avons vécu, n’ont pas été pour moi un temps favorable à l’écriture, comme si au contraire, mon imagination s’était elle aussi confinée !
Mes recueils publiés aux éditions L'Harmattan :
· « Inflexions » (mai 2020)
· « La petite voix et autres résonances » (mai 2018)
· « À fleur de sel » (octobre 2016)
· « Des bleus au ciel » (avril 2015)
Aperçu des prix à différents concours de nouvelles :
Retour sur la conférence du 9 novembre 2021
C'est devant un public nombreux, attentif et… masqué qu'Alde Harmand, historien, a décrit les prestigieuses pièces composant le riche trésor de la cathédrale de Toul. Le conférencier, très à l'aise dans son sujet, a préalablement retracé l'historique de la salle du trésor ains que les travaux ayant abouti à la restauration et à l'aménagement du lieu. Grace à d'anciens inventaires, on connait avec une relative précision les pièces disparues à jamais, soit parce qu'elles ont été vendues pour construire l'édifice, soit parce qu'elles ont été détruites à la Révolution. Hormis celle renfermant le saint Clou, les pièces d'orfèvrerie présentées dans des vitrines hautement sécurisées datent essentiellement des XIXe et XXe siècles.
mercredi 10 novembre 2021
lundi 8 novembre 2021
dimanche 7 novembre 2021
jeudi 4 novembre 2021
Conférence du 9 novembre 2012
Dans le cadre des 800 ans de la cathédrale, le CELT a le plaisir de vous annoncer qu'Alde Harmand viendra ce mardi 9 novembre à 20h30 salle des adjudications pour présenter Trésor de Toul, la reconstitution d'un trésor de cathédrale.
Ouvert en juillet 2021, cet espace du XIIIe siècle retrouve sa vocation perdue à la Révolution. De lieu de stockage de nombreuses pièces d'orfèvrerie connues par différents inventaires, il est devenu un lieu d'exposition montrant la typologie des différents objets contenus dans le trésor avant les fontes révolutionnaires.
Les travaux de la salle, l'historique du trésor avec ses dons et confiscations et les démarches de sa constitution actuelle sont les principaux thèmes de cette conférence.
Port du masque obligatoire, n'oubliez pas votre pass sanitaire !
dimanche 17 octobre 2021
Saint Amon : sa vie et sa mémoire par Jean-Claude L'huillier
Cette conférence présentée le mardi 12 octobre 2021 était la première après une année d'inactivité due à l'épidémie de Covid. Elle est la première d'une série de trois conférences en rapport avec les 800 ans de la cathédrale de Toul. Saint Amon, fut le second évêque de Toul succédant à saint Mansuy autour de l'an 400 pendant une trentaine d'années.
Le conférencier
Retraité de 70 ans, Jean-Claude L'Huillier a travaillé à l'INRS et pendant ses loisirs sur l'histoire locale. Parmi les divers sujets, il a une préférence pour ce qui est religieux. Suite à une série d'émissions sur les évêques de Toul à l'antenne de "RCF Lorraine Nancy", il a déjà traité les 33 premiers évêques. C'est là qu'il s'est attaché plus particulièrement à saint Amon, deuxième évêque de Toul, successeur immédiat de saint Mansuy, notre père dans la foi. Jean-Claude L'Huillier a participé à plusieurs manifestations du Centenaire de la Grande-Guerre. Plusieurs ouvrages sont déjà parus sous sa plume : "Le berceau du Carmel de Nancy, l'Hôtel Sainte Anne à Lunéville", "De Nancy au Camps des Romains 1914", "L'échec allemand sur la Marne", et sous presse actuellement "la Bataille de Lorette" ces 3 ouvrages, résultat d'un travail d'équipe, sont les traductions des ouvrages allemands du Reichsarchiv. Il a également publié plusieurs articles dans le "Pays Lorrain", "La Nouvelle revue Lorraine" et dans la revue "Tranchée". Il publie depuis plus de deux ans une "lettre aux amis de saint Amon". Ce mensuel permet de tenir au courant les destinataires des dernières recherches. Ces lettres publient également la transcription du manuscrit de plus de 300 pages écrit par l'Abbé Demange à la fin du XIXe siècle.
La conférence : Saint Amon, 2ème évêque de Toul (ca 385- ca 415). Sa vie et sa mémoire.
Le conférencier a commencé par avouer qu'on connaissait peu de choses sur le personnage, mais que pourtant, il y en avait beaucoup à dire. La conférence était axée autour d'une gravure Jacques Callot représentant l'évêque en forêt de saint Amond, près de Favières/Saulxerotte, où on le voit devant la grotte avec le puits, l'ermitage, la forêt et divers personnages. L'exposé s'est terminé avec l'évocation des reliques du saint et de quelques représentations.
lundi 20 septembre 2021
jeudi 16 septembre 2021
lundi 13 septembre 2021
Cérémonie de remise du prix Moselly 2020
Des applaudissements nourris, une émotion palpable, une lauréate tout étonnée de l'impact de ses mots sur le public de la salle des mariages de l'hôtel de ville de Toul, c'était l'heureuse surprise que nous dévoilait samedi soir le jury du prix Moselly. Cette année, la remise du prix Moselly 2020 avait un peu de retard sur le calendrier, mais la cérémonie n'en fut que plus lumineuse, par les mots d'Hélène Vilasi et par la belle lumière de septembre qui pénétrait par les fenêtres immenses de l'hôtel de ville. Hélène Vilasi nous a conté une histoire d'intégration, d'une famille italienne, au sein de l'industrie sidérurgique de Moselle, intégration aussi réussie que douloureuse car si l'ascenseur social a bien fonctionné, ce fut au prix de vies humaines. La sidérurgie lorraine n'est pas morte, loin s'en faut, et elle continue d'engendrer des métiers de passion et de douleur ; et bon nombre de sidérurgistes continuent d'aimer la Lorraine, terre de labeur et de dignité. Cette passion était donc au rendez-vous samedi soir, et, comme depuis plus de 70 ans, la municipalité, à travers son maire actuel Alde Harmand, a remis la récompense bien méritée de 500 euros à la lauréate. Puis ce sont les deux artistes locales Marie Kiffer et Fabienne Barbillon qui lui ont remis avec joie le magnifique diplôme réalisé pour l'occasion et illustrant sa nouvelle « Adieu Lorraine ». Hélène Vilasi était touchée par l’accueil et émerveillée par cette journée extraordinaire qui s'est terminée autour d'un repas organisé par le CELT, initiateur de cette belle aventure qu'est le prix Moselly.
Hélène Vilasi faisant la lecture de sa nouvelle "Adieu Lorraine"
Dédicace de la nouvelle éditée dans le numéro 176 des Études Touloises
dimanche 5 septembre 2021
Remise du prix Moselly 2020, Hôtel de Ville de Toul, samedi 11 septembre à 18h30
Hélène Vilasi vient faire la lecture de sa nouvelle, prix Moselly 2020, à la salle des mariages de l'hôtel de ville de Toul, samedi 11 septembre, 18h30. La lecture sera suivie de la remise du prix, des dédicaces et d'un verre de l'amitié. L'auteur se présente ainsi et dévoile ses sources d'inspiration pour Adieu Lorraine, sa nouvelle.
Je suis Hélène Vilasi, quarante ans, maman de deux filles de treize et dix ans et lorraine de cœur. Je suis née à Thionville d'une mère meusienne et d'un père d'origine italienne. En 1998, j'ai momentanément quitté la région pour suivre des études en école de commerce, d'abord à Reims puis à Breda aux Pays-Bas. De retour dans la région avec mon double-diplôme en poche en 2002, j'ai perpétué la tradition familiale en étant embauchée dans le secteur sidérurgique à Florange, où je travaille encore aujourd'hui : nous en sommes à la troisième génération de métallo ! J'habite à Pommérieux, village situé au sud de Metz, où je partage mon temps libre entre famille et amis, lecture et musique (je m'essaie à la guitare et j'étais grande adepte de concerts... vivement que cela soit de nouveau rendu possible). Je suis une très grande lectrice mais je débute dans l'écriture : Adieu Lorraine est le second texte que j'écris et le Prix Moselly est le premier concours auquel je participe. C'est la raison pour laquelle j'ai eu du mal à croire au coup de fil de Mme Florentin (Secrétaire du Prix Moselly) : cette annonce était pour moi aussi incroyable qu'inespérée. C'est d'une seule phrase de mon collègue, Christian Marchionni, que tout est parti : nous avions l'habitude d'échanger sur nos lectures et je me suis jetée à l'eau au printemps 2020 en lui faisant lire un texte que j'avais rédigé quelques années plus tôt sur mon expérience néerlandaise et l'entrée dans la vie d'adulte. Il m'a encouragée à « récidiver » et à participer à un concours. Quel excellent conseil !
La nouvelle :
Je suis plutôt fière de ce texte qui m'a été inspiré par l'histoire de mes grands-parents paternels. Adieu Lorraine c'est le récit de l'immigration italienne en Lorraine, du déracinement, de la rudesse de la vie dans l'industrie sidérurgique de l'époque mais aussi de l'intégration et de l'espoir d'une vie meilleure pour ses enfants. J'ai puisé dans les témoignages de mon père (mes grands-parents n'étant malheureusement plus là pour raconter), mes souvenirs d'enfance et mon expérience professionnelle actuelle pour rédiger cette nouvelle : coucher tout cela sur papier est pour moi une façon de ne jamais oublier cet héritage familial et d'en laisser une trace pour mes filles. Pour les besoins du récit, je me suis tout de même amusée à insérer cette histoire vraie dans un contexte romancé qui, j'espère, aura su tenir le lecteur en haleine jusqu'à la dernière ligne. Évènement soumis au port du masque et du pass sanitaire. L'entrée se fera dans la mesure des places disponibles.
samedi 4 septembre 2021
Le n° 177 des Études Touloises est paru - n°173 en ligne
samedi 5 juin 2021
Le n° 176 des Études Touloises est paru
- Forêt militaire et biodiversité. Les déboisements effectués par l’armée américaine dans le dépôt de la Forêt de Haye à partir de 1951, et leur conséquence : la restitution des espaces forestiers inutilisés à l’administration des Eaux et Forêts, par Pierre Labrude.
- La diffusion d’une œuvre d’art : l’exemple de La Descente de Croix de François Mansuy, par Philippe Masson
- Prix Moselly 2020 "Adieu, Lorraine…", par Hélène Vilasi
- Barisey-la-Côte - Un village et les guerres, par Jean-Yves Chauvet
Les articles du numéro 172 sont en ligne. ICI
mercredi 5 mai 2021
Prix Moselly 2020
Hélène Visali, jeune écrivain, vient de remporter le prix Moselly organisé par le Cercle d’Études locales du Toulois (CELT).
« Une véritable reconnaissance »
Hélène Vilasi poursuit : « J’ai été très surprise en apprenant que j’avais remporté le prix. Mes amis m’avaient encouragée, mais être élue par des personnes qui ne me connaissaient pas, puis être publiée dans la revue des Études touloises, a été une véritable reconnaissance. C’était une belle aventure et un point de départ de discussion avec des proches et des collègues. Cela me donne envie d’écrire sur d’autres sujets, et peut-être un roman. »
dimanche 2 mai 2021
Le fil du CELT #4
Micheline Montagne présente "Quatre insectes ravageurs présents dans le Toulois".
Pour télécharger le PDF, cliquer ICI.
mardi 20 avril 2021
Hélène Vilasi, lauréate du prix Moselly 2020
Hélène Vilasi est la 62ème lauréate du prix Moselly pour sa nouvelle "Adieu Lorraine"
Article Paru dans l'Est Républicain Toul le 20 avril 2021
lundi 19 avril 2021
samedi 17 avril 2021
Prix Moselly 2020
Le prix Moselly 2020 est attribué à Hélène Vilasi pour sa nouvelle
"Adieu Lorraine"
Elle évoque l'immigration italienne et la sidérurgie au travers de plusieurs générations d'ouvriers.
Le texte paraîtra dans le prochain numéro des Études Touloises.
Les membres du jury remercient les candidats de leur compréhension pour les 5 mois de retard dus aux circonstances sanitaires liées au Covid 19 qui a perturbé les conditions de réunions.
La cérémonie de remise du prix au cours de laquelle la lauréate fera la lecture de sa nouvelle au public sera organisée dès qu'il sera possible de se réunir à l'Hôtel de Ville de Toul.
lundi 22 mars 2021
vendredi 26 février 2021
Prix Moselly 2021
Études Touloises
Le n° 175, Carnet du Pélican n°4, est en kiosque. Les abonnés recevront très prochainement leur exemplaire.
- Éditorial - Alain RÉGNIER
- La question de la date du début des travaux de la cathédrale Saint-Étienne de Toul – Par Alain Villes
- L’incendie des cathédrales à travers l’histoire (2) – par Alain Villes
- J’ai vu brûler la cathédrale de Toul... Nouvelle de Marie-Rose Pruniaux-Munier
- Le miracle de saint Mansuy attribué au peintre lorrain Louis Yard par Annie Warin
- Règlement du prix Moselly 2012
jeudi 11 février 2021
Le fil du CELT #3
Pour télécharger le PDF, cliquer ICI