La conférencière Audrey Lambert a découvert avec surprise la Lorraine lorsqu'elle est arrivée à Nancy pour ses études en histoire de l'art. Originaire de Touraine, elle débarque avec les mauvais préjugés, voire l'ignorance, dont la région est victime, mais la jeune femme en découvre les merveilles.
Elle est actuellement employée à Bar-le-Duc pour le récolement des collections du Musée Barrois.
C'est en partageant son enthousiasme qu'elle a exposé le résultat de ses travaux de Master 2 au public toulois.
Ses recherches l'ont conduite à se poser de nombreuses questions, dont beaucoup sont encore sans réponses.
Après l'analyse des deux statues (attitude, costume, influence…), de leur origine (elles étaient entreposées dans la chapelle de Gare le Col) et de leurs commanditaires, Audrey Lambert émet les hypothèses de leurs emplacements originels possibles dans la cathédrale : Jubé, chapelle des reliques, chapelle de évêques ? Cette dernière semble la plus probable mais reste à vérifier.
L'existence d'un atelier de sculpture à Toul où ces œuvres auraient été réalisées est également très probable.
Les réponses aux questions ne se trouveront qu'après la consultation de très nombreuses archives, mais peut-être jamais, compte tenu du risque que les documents les plus explicites aient disparu ou aient été endommagés, comme c'est le cas d'une liste que l'étudiante a eue entre les mains, hélas en grande partie calcinée.
Restaurées et acquises grâce à une souscription de la Fondation du Patrimoine, les deux statues sont installées dans la salle lapidaire du musée d'Art et d'Histoire de Toul où il est possible de les admirer (l'entrée est gratuite).
Elle est actuellement employée à Bar-le-Duc pour le récolement des collections du Musée Barrois.
C'est en partageant son enthousiasme qu'elle a exposé le résultat de ses travaux de Master 2 au public toulois.
Ses recherches l'ont conduite à se poser de nombreuses questions, dont beaucoup sont encore sans réponses.
Après l'analyse des deux statues (attitude, costume, influence…), de leur origine (elles étaient entreposées dans la chapelle de Gare le Col) et de leurs commanditaires, Audrey Lambert émet les hypothèses de leurs emplacements originels possibles dans la cathédrale : Jubé, chapelle des reliques, chapelle de évêques ? Cette dernière semble la plus probable mais reste à vérifier.
L'existence d'un atelier de sculpture à Toul où ces œuvres auraient été réalisées est également très probable.
Les réponses aux questions ne se trouveront qu'après la consultation de très nombreuses archives, mais peut-être jamais, compte tenu du risque que les documents les plus explicites aient disparu ou aient été endommagés, comme c'est le cas d'une liste que l'étudiante a eue entre les mains, hélas en grande partie calcinée.
Restaurées et acquises grâce à une souscription de la Fondation du Patrimoine, les deux statues sont installées dans la salle lapidaire du musée d'Art et d'Histoire de Toul où il est possible de les admirer (l'entrée est gratuite).
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