Nicolas Czubak a décrit les tout premiers combats de la guerre de 14 dans un exposé dynamique, abondamment documenté par des cartes topographiques, illustré de cartes postales et de gravures anciennes.
À la déclaration de guerre, les forces armées françaises se concentraient à Verdun et à Toul ainsi qu'entre les deux, dans les forts du système Séré de Rivières des Côtes de Meuse.
En face, les Prussiens étaient cantonnés à Metz.
Le Plan Schlieffen consistait à envahir rapidement la France par le nord en passant par la Belgique pour atteindre Paris, et, dans ce but, il fallait isoler Verdun et empêcher son ravitaillement par le sud.
Il en résulta les divers affrontements qui eurent lieu dans la Woëvre dès le mois d'août 1914.
Si les premiers combats ont été de "simples escarmouches", les suivants,véritables batailles, ont eu lieu sur le secteur d'Étain-Rouvres puis au nord de Toul aux alentours de Lironville.
Ces tragiques affrontements, les plus meurtriers du conflit, ne sont pas devenus aussi célèbres que les combats de Verdun ou de la Marne parce qu'à l'époque, on communiqua peu les informations.
Quant à l'épisode de Rouvres où la population masculine fut massacrée et le village incendié, il reste méconnu mais les habitants du village en conserve encore une mémoire brûlante.
À la déclaration de guerre, les forces armées françaises se concentraient à Verdun et à Toul ainsi qu'entre les deux, dans les forts du système Séré de Rivières des Côtes de Meuse.
En face, les Prussiens étaient cantonnés à Metz.
Le Plan Schlieffen consistait à envahir rapidement la France par le nord en passant par la Belgique pour atteindre Paris, et, dans ce but, il fallait isoler Verdun et empêcher son ravitaillement par le sud.
Il en résulta les divers affrontements qui eurent lieu dans la Woëvre dès le mois d'août 1914.
Si les premiers combats ont été de "simples escarmouches", les suivants,véritables batailles, ont eu lieu sur le secteur d'Étain-Rouvres puis au nord de Toul aux alentours de Lironville.
Ces tragiques affrontements, les plus meurtriers du conflit, ne sont pas devenus aussi célèbres que les combats de Verdun ou de la Marne parce qu'à l'époque, on communiqua peu les informations.
Quant à l'épisode de Rouvres où la population masculine fut massacrée et le village incendié, il reste méconnu mais les habitants du village en conserve encore une mémoire brûlante.
Les soldats français, ici avec le redoutable canon de 75, n'étaient pas encore appelés "les poilus"
Nicolas Czubak écoute attentivement les questions qui lui sont posées...
... puis dédicace ses deux ouvrages
Nicolas Czubak écoute attentivement les questions qui lui sont posées...
... puis dédicace ses deux ouvrages
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