Si les manifestations sociales avaient peut-être dissuadés certains de se déplacer, la salle des tapisseries du musée d'Art et d'Histoire de Toul était néanmoins bien remplie par les auditeurs venus découvrir ce samedi 24 novembre 2018 la nouvelle primée pour le prix Moselly 2018 : La révolte de la vieille dame, et son auteur : Geneviève Bobior-Wonner.
Madame Geneviève Bobior réside à Sérémange-Erzange en Moselle. Âgée de 75 ans, elle est retraitée de l'éducation nationale après avoir enseigné les lettres et l'histoire-géographie en France et Outre-mer. Ce n'est pas une débutante en écriture puisqu'elle a déjà publié plusieurs ouvrages, dont des romans policiers. Elle avait tenté sa chance une première fois dans le concours toulois en 2017.
La cérémonie a été ouverte par Gérard Howald, adjoint représentant Alde Harmand, maire, empêché en dernière minute. Après une courte intervention de Philippe Masson, président du CELT, Corinne Florentin a communiqué les statistiques concernant les nouvelles reçues et les 28 participants au concours 2018.
Puis la lauréate et trois membres du jury se sont relayés pour faire la lecture du texte au public qui en faisait la découverte.
Elle s'est vue remettre par Philippe Masson 5 exemplaires du numéro 166 des Études Touloises spécial centenaire du décès de Moselly dans lequel sa nouvelle est éditée, un exemplaire de l'ouvrage Dans les pas de Moselly réalisé par le CELT. Gérard Howald lui a offert un chèque de 500 euros de la part de la ville de Toul et Pascale Laurent "faiseuse de couleurs" un diplôme original de sa composition, illustrant la nouvelle.
Gérard Howald et Philippe Masson ont ensuite présenté l'exposition "Moselly inédit - Un écrivain d'après ses archives et le fonds de l'académie Goncourt" présentée dans cette même salle des tapisseries.
Il a été possible ensuite de partager ses impressions avec la lauréate lors du vin d'honneur offert par la ville de Toul. Elle a ainsi confié que si sa nouvelle était une fiction, la petite Marie chétive née pendant la guerre, c'était elle.
Madame Geneviève Bobior réside à Sérémange-Erzange en Moselle. Âgée de 75 ans, elle est retraitée de l'éducation nationale après avoir enseigné les lettres et l'histoire-géographie en France et Outre-mer. Ce n'est pas une débutante en écriture puisqu'elle a déjà publié plusieurs ouvrages, dont des romans policiers. Elle avait tenté sa chance une première fois dans le concours toulois en 2017.
La cérémonie a été ouverte par Gérard Howald, adjoint représentant Alde Harmand, maire, empêché en dernière minute. Après une courte intervention de Philippe Masson, président du CELT, Corinne Florentin a communiqué les statistiques concernant les nouvelles reçues et les 28 participants au concours 2018.
Puis la lauréate et trois membres du jury se sont relayés pour faire la lecture du texte au public qui en faisait la découverte.
Elle s'est vue remettre par Philippe Masson 5 exemplaires du numéro 166 des Études Touloises spécial centenaire du décès de Moselly dans lequel sa nouvelle est éditée, un exemplaire de l'ouvrage Dans les pas de Moselly réalisé par le CELT. Gérard Howald lui a offert un chèque de 500 euros de la part de la ville de Toul et Pascale Laurent "faiseuse de couleurs" un diplôme original de sa composition, illustrant la nouvelle.
Gérard Howald et Philippe Masson ont ensuite présenté l'exposition "Moselly inédit - Un écrivain d'après ses archives et le fonds de l'académie Goncourt" présentée dans cette même salle des tapisseries.
Il a été possible ensuite de partager ses impressions avec la lauréate lors du vin d'honneur offert par la ville de Toul. Elle a ainsi confié que si sa nouvelle était une fiction, la petite Marie chétive née pendant la guerre, c'était elle.
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