Janvier 1974 : Sortie du numéro 1. Cette initiative fait suite à une réunion du jury du Prix Moselly, quelques semaines plus tôt, au cours de laquelle les moyens de faire connaître ce concours ont été recherchés. J'ai alors proposé au docteur Michel Hachet, président du CELT, cette idée de publication et me suis mis au travail en vue de la réalisation d'un modeste ouvrage, dont la parution pourrait être annuelle à l'occasion de la remise du prix et qui serait consacré à notre écrivain toulois ainsi qu'au prix décerné en fin d'année. Le numéro 1 paraît donc en janvier 1974 avec 5 articles dont le prix Moselly 1973 : "L'Odyssée de la Lucie". Ce premier numéro a été réalisé au moyen de "stencils" frappés à la machine à écrire par Mme Chadron et "ronéotés" à la mairie de Toul. Il compte 46 pages.
Devant le succès de cette première parution, il est décidé d'en sortir un autre au cours de l'année. La publicité y entre pour participer au financement et le numéro 2 paraît en septembre 1974. Si ses 64 pages restent multigraphiées, à l'exception de quelques illustrations noir et blanc sur papier glacé, la couverture et la reliure sont alors réalisées au CRDP de Nancy, imprimerie qui va jouer, au cours des années suivantes, un rôle grandissant.
Une équipe de pionniers anime alors cette section du CELT : autour de Bernard Humbert, on trouve, Madeleine Petit, Daniel Steinbach, Jacques Joyeux...
1975 : Le numéro 3 est encore multigraphié mais de la couleur y apparaît : sur la couverture et sur une page intérieure (costumes militaires). Le numéro 4 est le premier à être en grande partie réalisé au CRDP encore qu'il faille souvent apporter un coup de main à la reliure. Pour sa préparation, la frappe est effectuée sur une "machine à boules", d'abord par mes soins puis, dans les années 80, avec le concours d'Edith Coyen, qui occupera une fonction de secrétariat pendant quelques années. L'équipe s'agrandit aussi avec le couple Dayer, Yvonne et Jean-Pierre, à la publicité et aux maquettes.
1977 : Les Études Touloises deviennent trimestrielles avec 4 numéros par an. Parfois, un numéro double, souvent consacré à une même famille de sujets, viendra réduire à 3 les parutions de l'année en cours.
1978 : Deux numéros sortent de l'ordinaire : le n°11 sur la "Faïencerie Bellevue" qui sera très vite épuisé. Il est encore aujourd'hui très recherché. Et le n°13 (numéro double) qui fut le catalogue de l'exposition organisée par les Études Touloises sur les "Productions Touloises" (Ce numéro est le seul à avoir été imprimé à Toul, sujet oblige !).
1979 : Claude Adam remplace Mme Petit aux abonnements. Jean-Pierre Dayer gère seul les publicités.
1981 : Une collection, qui aura finalement 4 numéros, est lancée : "Mon village en Lorraine". La maquette est l'œuvre de Jean-Pierre Blin. Il s'agit de réunir dans un même fascicule, les articles ou monographies concernant un même village. Cette année-là, le premier tome concerne Villey-le Sec. Suivront, les années suivantes, Bruley, Aingeray et enfin Lucey.
1982 : Gérard Howald remplace Claude Adam à la diffusion et aux abonnements. Après la sortie du numéro 25 (1982), il est nécessaire de publier un "erratum" pour corriger les nombreuses fautes de frappe. On constitue alors un comité de relecture des articles. Il est composé de Suzanne Egloff, Jacques Joyeux et Madeleine Paulin.
1983 : Philippe Jeandat vient épauler Gérard Howald dans la gestion financière des Études Touloises. Cette année se termine avec la publication, dans le numéro 30, de la première partie de "Bruley au fil des ans" par Bernard Manet.
1983 :
L'équipe des Études Touloises, animée du même projet de départ, publie, en octobre de cette année un ouvrage relié, illustré par Jean Morette, le dessinateur attitré du Républicain Lorrain, contenant une dizaine de prix Moselly. Ce beau livre, intitulé "En Lorraine, au coin du feu", sera publié à 1000 exemplaires et connaîtra un relatif succès de librairie. Il a été réalisé par l'imprimerie Tecnodim de Marly qui deviendra, l'année suivante, celle des Études Touloises.
Devant le succès de cette première parution, il est décidé d'en sortir un autre au cours de l'année. La publicité y entre pour participer au financement et le numéro 2 paraît en septembre 1974. Si ses 64 pages restent multigraphiées, à l'exception de quelques illustrations noir et blanc sur papier glacé, la couverture et la reliure sont alors réalisées au CRDP de Nancy, imprimerie qui va jouer, au cours des années suivantes, un rôle grandissant.
Une équipe de pionniers anime alors cette section du CELT : autour de Bernard Humbert, on trouve, Madeleine Petit, Daniel Steinbach, Jacques Joyeux...
1975 : Le numéro 3 est encore multigraphié mais de la couleur y apparaît : sur la couverture et sur une page intérieure (costumes militaires). Le numéro 4 est le premier à être en grande partie réalisé au CRDP encore qu'il faille souvent apporter un coup de main à la reliure. Pour sa préparation, la frappe est effectuée sur une "machine à boules", d'abord par mes soins puis, dans les années 80, avec le concours d'Edith Coyen, qui occupera une fonction de secrétariat pendant quelques années. L'équipe s'agrandit aussi avec le couple Dayer, Yvonne et Jean-Pierre, à la publicité et aux maquettes.
1977 : Les Études Touloises deviennent trimestrielles avec 4 numéros par an. Parfois, un numéro double, souvent consacré à une même famille de sujets, viendra réduire à 3 les parutions de l'année en cours.
1978 : Deux numéros sortent de l'ordinaire : le n°11 sur la "Faïencerie Bellevue" qui sera très vite épuisé. Il est encore aujourd'hui très recherché. Et le n°13 (numéro double) qui fut le catalogue de l'exposition organisée par les Études Touloises sur les "Productions Touloises" (Ce numéro est le seul à avoir été imprimé à Toul, sujet oblige !).
1979 : Claude Adam remplace Mme Petit aux abonnements. Jean-Pierre Dayer gère seul les publicités.
1981 : Une collection, qui aura finalement 4 numéros, est lancée : "Mon village en Lorraine". La maquette est l'œuvre de Jean-Pierre Blin. Il s'agit de réunir dans un même fascicule, les articles ou monographies concernant un même village. Cette année-là, le premier tome concerne Villey-le Sec. Suivront, les années suivantes, Bruley, Aingeray et enfin Lucey.
1982 : Gérard Howald remplace Claude Adam à la diffusion et aux abonnements. Après la sortie du numéro 25 (1982), il est nécessaire de publier un "erratum" pour corriger les nombreuses fautes de frappe. On constitue alors un comité de relecture des articles. Il est composé de Suzanne Egloff, Jacques Joyeux et Madeleine Paulin.
1983 : Philippe Jeandat vient épauler Gérard Howald dans la gestion financière des Études Touloises. Cette année se termine avec la publication, dans le numéro 30, de la première partie de "Bruley au fil des ans" par Bernard Manet.
1983 :
L'équipe des Études Touloises, animée du même projet de départ, publie, en octobre de cette année un ouvrage relié, illustré par Jean Morette, le dessinateur attitré du Républicain Lorrain, contenant une dizaine de prix Moselly. Ce beau livre, intitulé "En Lorraine, au coin du feu", sera publié à 1000 exemplaires et connaîtra un relatif succès de librairie. Il a été réalisé par l'imprimerie Tecnodim de Marly qui deviendra, l'année suivante, celle des Études Touloises.
Numéros remarquables au cours de cette première décennie
N°1 le lancement (1974), N°11 et N°13 (1978)
N°1 le lancement (1974), N°11 et N°13 (1978)
N°18 (1980), N°27 (1982) et N°29 (1983)
La suite .... Deuxième époque : 1984-1993, prochainement...
Bernard Humbert 25 janvier 2014
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